Humour |
La théorie des trois actes de la vie d'un bridgeur, selon Gabriel
Chagas, champion du monde :
Acte I : temps + capacité, mais pas l'argent
Acte II : capacité + argent, mais pas le temps
Acte III : temps + argent, mais plus la capacité
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Il est recommandé en troisième position et à
vulnérabilité favorable de quand même posséder
treize cartes pour ouvrir. (Edgard Kaplan)
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Entendu dans une salle du rama du championnat d'Europe, cet échange
dans le public :
- Les propos du commentateur sont abscons.
-
C'est à moitié vrai
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Le déclarant au contrat de 3 SA, après avoir réalisé
les neuf première levées, pose son jeu sur la table
et dit à son voisin :
" Je vous donne le reste. "
et celui-ci de répondre :
" Mais comment jouez-vous exactement? "
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Une donne de bridge est comme une uvre d'art que l'on peint
à quatre.
Il faut reconnaître que les croûtes sont plus nombreuses
que les chefs-d'uvre !
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Le commentateur : " Sud a l'air ennuyé : il a beau regarder
son jeu, son problème reste entier : il a toujours les mêmes
treize cartes. "
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" Ma femme est une fervente adepte de votre système et
lit assidûment votre revue. Comme il m'arrive souvent de jouer
avec elle, j'ai le droit de vous dire que vous m'avez apporté,
vous et votre littérature, pas mal d'ennuis. "
extrait d'une lettre de M.Wood à Ely Culbertson (1935)
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Le théorème du salaire de Dilbert établit que les
ingénieurs et les scientifiques ne peuvent ja-mais gagner autant
que les commerciaux. Ce théorème peut être amené
par une démonstration mathé-matique qui s'appuie sur les
postulats suivants :
- postulat n° 1 : la Connaissance, c'est la Puissance
- postulat n° 2 : le Temps, c'est de l'Argent
Tout ingénieur sait que Puissance = Travail / Temps
Or Connaissance = Puissance et Temps = Argent.
D'où Connaissance = Travail / Argent
Donc, Argent = Travail / Connaissance
Ainsi, si la Connaissance tend vers zéro, l'Argent tend vers
l'infini, sans se soucier de la charge de travail.
Conclusion : " Moins tu en connais, plus tu gagnes ! "
C'est scientifiquement prouvé.
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Tournoi de club pépère, fin de la première position.
Arbitre : " Transférez, changez " (classique)
Gentille dame : " Monsieur, monsieur, je vais où ? "
Arbitre (charmant) : " Les paires montent, les étuis descendent,
madame. "
Fin de la deuxième position.
Arbitre : " Transférez, changez. "
Même dame : " Monsieur, monsieur, je vais où ? "
Arbitre (agacé) : " Les paires montent, les étuis
descendent. "
Fin de la troisième position.
Arbitre : " Transférez, changez. "
Toujours la même dame : " Monsieur, monsieur, je vais où
? "
Arbitre (excédé) : " Les paires montent, les étuis
descendent. Si vous êtes une paire, vous montez, si vous êtes
un étui, vous descendez."
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Après une séquence très compétitive, où
les enchères dépassent le palier du plus imaginatif
d'entre nous : " Souvent, quand on se rend compte de ce que l'on
a réellement en main, il est déjà trop tard.
"
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Attribué à Paul Chemla : Juste avant la finale du Paires
Dames à Paris, gros attroupement autour de Chemla qui regarde
attentivement le tableau des joueuses. Au bout d'un moment, il pointe
son doigt sur une paire du bas de tableau et déclare, avec
son zézaiement célèbre : " Voilà
mes favorites. " On lui demande alors pourquoi et il répond
: " Ce sont les seules que je n'ai jamais vu jouer ! "
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A la fin de l'après-midi, un joueur va trouver l'organisateur
et lui dit :
" Demain, je refuse de jouer avec ce partenaire : il est impossible,
je ne sais jamais ce qu'il a. Il fait des psychiques tout le temps
!!! "
Le pauvre responsable n'a personne d'autre à proposer et essaye
de convaincre les deux parties de faire un effort. A la fin, tout
s'arrange et l'amoureux des psychiques est d'accord pour payer à
son parte-naire 1€ par psychique
Le lendemain donc, ils se retrouvent pour commencer à jouer
et, déposant l'argent sur la table :
" Partenaire, je crois que je vous dois 1€
"
et il pose le carton 1 ♠.
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L'arbitre, au début de la première séance du
Promotion par paires, explique son rôle et les conditions du
tournoi, en particulier que s'il y a 4 passes, la donne n'est pas
redonnée. Un peu plus tard, circulant entre les tables, il
entend :
" Ah non, madame, Vous ne pouvez pas passer. L'arbitre a dit
qu'il ne pouvait pas y avoir 4 passes consécutifs. "
" Ah bon, alors 1 ♦
"
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Discussion entre deux partenaires après une séquence
mouvementée, et un contrat trop élevé :
" Je pensais que tu avais du ♥.
"
" Moi, je pensais que tu avais de la tête. "
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Toujours entre les deux mêmes :
" Mais enfin, il fallait bien que je te dise le jeu que j'avais
! "
" Tu aurais pu attendre l'apéro pour ça ! "
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L'adversaire a le droit d'être inspiré, mais il ne faut
pas que cela devienne une habitude.
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Exclamation d'une joueuse de haute compétition :
" J'aime bien les mains 4333 car on est sûr d'avoir un
fit 7° avec le partenaire ! "
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Discussion à la sortie d'un match à propos d'une enchère
peu évidente :
" Les commentateurs ont proposé de contrer l'enchère
de 4 ♠ (pour moins 5)
. Finalement,
ce doit être un avantage de connaître les 4 jeux. "
(Alain Levy)
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